Le Satan dont parlent les écritures, il n’est pas un esprit et ne vit pas dans un monde invisible. Une mauvaise métaphysique s’est installée dans les courants depensée. La vérité c’est que cette bête est toujours vivante et prend possession d’un autre organisme, principalement un être humain. Cet être a pour nature des’adjoindre à un autre. Un être comparatif a été découvert et on l’appelle en science: un SYMBIOTE.
Ce genre d’espèce fut observé dans la nature par des savants vers la fin du XVIIIe siècle.
Le Créateur avait fait précédemment une tentative en créant un premier compagnon « intérieur » additif à l’homme d’origine.
Celui-ci fut au début des temps son premier compagnon.
Une union avant celle de la première femme.
Il partageait son existence, son intimité, ses sens, sa conscience, en somme il était branché avec son organisme, jusqu’à partager ses secrets les plus profonds.
Il fut rejeté, la femme fut alors créée depuis l’organisme du premier homme.
Il posséda alors un serpent, le premier couple se retrouva alors nu de connaissances à cause de lui.
L’immensité du savoir dont le Créateur les avait doté leur fut repris.
Seul la bête avait gardé en mémoire les connaissances et savoirs que le couple possédait avant la chute.
En principe sous certaines conditions, cet organisme ne connaît pas la mort. Il peut successivement changer d’hôte, c’est ainsi qu’il se fait une lignée.
Son objectif est de recouvrer son statut originel de compagnon, de se faire le « Chef des états nations ». Satan avait vu son « Plan » retardé de 1000 ans par l’arrivée de Jésus et par l’apparition de la confession Chrétienne qui finirent par s’emparer de ses royaumes.
Étant donné qu’à l’origine le « prince de ce monde » fut en parfaite symbiose avec l’homme et qu’il en fut séparé, il a ainsi seul, gardé en mémoire les connaissances et le savoir que le couple premier détenait, celui qu’il avait avant de s’en trouver nu.
L’humanité devint son esclave; car dépourvut du savoir, éloigné de la vraie connaissance, dont ce Satan n’en a qu’un reflet, mais qu’il se suffit pour asservir ce monde.
Car nos sciences et techniques, nos savoirs ne sont que le produit d’une aumône, des offrandes qu’il nous donne fur et à mesure, étapes par étapes, pour nous donner cette impression de progrès et d’une notion d’évolution, en suivant un processus visant à relancer la civilisation au moment approprié par un effet « Boost
plan » permettant l’effet d’une croissance avant-gardiste, totalement inattendue.
Ce que nous connaissons, ce que nous utilisons au quotidien, nous a été donné petit à petit, par vagues successives, que même l’historien en science ne pourrait ignorer.
Les savoirs de l’humanité en tous arts et sciences sont aussi un ensemble d’œuvres pour sustenter l’intelligence, le goût de recherche, d’études supérieures, de hiérarchie intellectuelle, pour que le monde croit être doté de savants, de penseurs, de personnages émérites … Pour occuper l’esprit des plus humbles.
Tout cela fait partie du « laissé faire » un libre arbitre leurré, au service du Plan, pour nous donner cette impression d’un monde civilisé et pour nous éloigner de nos interrogations essentielles, et surtout pour que nous n’ayons aucun doute sur la véracité évolutive des sciences et techniques, ainsi que de leur indispensabilité au sein de la société.
Il est souvent compliqué d’être en accord sur ce qu’on doit prendre au sérieux ou comme stupide.
Nous sommes aujourd’hui confrontés à de multiples influences qui nous empêchent singulièrement de discerner jusqu’à quel point nous sommes trompés. C’est avec la science moderne qu’il invente des réponses à nos questionnements, par abus d’intelligence, en cherchant à éblouir là où il lui est difficile de convaincre.
Cette notion de progrès nous semble commune, adaptée à ce que nous voyons, à ce qu’on nous en dit, par le savoir, et aussi d’après ce qu’on nous a enseigné avant, à l’école, au collège et à l’université.
Ainsi tous les savoirs en sciences et techniques que nous détenons par son bon vouloir, ne doivent faire l’objet d’aucun refus les concernant de notre part, elles ne sont pas sa propriété, elles nous ont été kidnappée. Nous devons au contraire les utiliser pour notre bien-être si nous le souhaitons, si nous le jugeons utile.
L’importance c’est de s’interroger sur les sciences et d’en trouver les failles prouvant que certaines des théories sont souvent imaginaires, que d’autres sont trompeuses et qu’un grand nombre d’expériences démonstratives modernes sont détournées de leurs contextes, de leur réalité.
On cherche à nous éloigner, à nous écarter de quelque chose qui vraisemblablement nous dépasse.
PASCAL VIEILLARD = 144
2 Commentaires. En écrire un nouveau
Est-ce que cela a quelque chose à voir avec Lilith qu’on a dit être la première femme d’Adam. On dit même que cette dernière a donné un fils Caien à Adam
Bonjour Yves, tout à fait, çà fait partie du thème que je développe dans mon livre TOTEM DEI https://editions-sydney-laurent.fr/livre/totem-dei-le-hasard-mythe-ou-realite/