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DIEU ET LA SCIENCE

On déclare comme « vrai » les idées qu’on aime et comme « faux » les idées qu’on rejette, c’est ainsi que l’on conçoit la vérité en
son Soi. Comment pourrait-on saisir un monde où les médias abusent des thèses scientifiques ?
La science-fiction de surcroît esthétise leurs paradoxes et mets en forme leurs probabilités et ce dont il en ressort: c’est que
l’on ne sait plus faire la part des choses, entre ce qui est possible pour la science et ce qui ne le sera jamais.

Pour la masse populaire, l’humanité se prépare à un futur glorieux en sciences, se plaisant à l’idée de maîtriser un jour ce qui
lui reste à découvrir, de domestiquer ou de résoudre ce qui lui semble impensable à faire ou à expliquer aujourd’hui.

Les sciences évoluent dans des mondes qui ne sont pas proprement les nôtres, sciences qu’on croit logiquement venir de nos
savants. Tout est fait pour nous vendre l’idée d’un présent évoluant dans une notion de progrès, de civilisation.

Pour un « histoirien » de la science, la vie, le vivant, jusqu’à l’arrivée de l’homme, viendrait d’une conséquence naturelle des
lois de la physique et de la chimie. Cette conséquence proviendrait particulièrement de bactéries, qui se sont combiné avec
des cellules (?) tout cela dans les eaux … depuis des végétaux qui n’en sont pas … (?) notre intelligence serait apparue grâce à
des transmutations génétiques, sur une étendue de plusieurs millions d’années … et cela petit à petit …

On nous apprend que l’homme et la femme, tout en possédant le gamète approprié pour féconder, ne se seraient jamais
rencontrés auparavant, avant d’avoir eu l’idée de procréer … leur désir commun de s’accoupler, aurait été produit par une
sorte de bactérie, qui aurait fini par disparaître … au cours du temps … on retiendra que les bactéries ne sont pas que des
virus.
Ainsi pour l’élite scientifique et historique, le temps est cette quatrième dimension, à qui l’on doit tout … pour vous dire …
Stephen Hawking a été jusqu’à déclarer: que DIEU ne peut pas exister, parce que avant le big-bang … le temps n’existait pas
… pourtant il serait possible de s’en isoler, à condition toutefois de le considérer comme étant dû à la propagation d’une onde
constante, affectant tous les organismes. Il existerait des matériaux capables d’en interférer, d’en faire barrière, pour réaliser
des enceintes, des cages d’isolation temporelle, d’après certains travaux de Faraday. Le temps ne serait-il pas une onde
générée depuis le ciel ?

La science moderne est certaine d’avoir convaincu le monde … de Sa Grandeur, en vérité elle s’est faite « l’épée du diable ».
L’élite qui la conduit à bien compris qu’elle avait un ennemi et cet ennemi: c’est Dieu, ses écritures, le témoignage de sa
croyance, le souvenir de son alliance, les fondements d’un monde créé … tout est bon pour nous dire que Dieu nous ment. La
science historique traite Dieu de menteur !

Elle ne nous dit pas ce qu’elle devrait nous dire, elle ne nous montre pas ce qu’elle devrait nous montrer.
Elle a réussi à duper le croyant, elle a convaincu même les élus de Dieu, l’adoptant comme vérité, se pliant devant elle,
pensant être obligé d’en tenir compte.

S’est-on trompé de diable … ?

L’œuvre moderne de la science n’a jamais été de nous faire comprendre le monde, mais de faire la gué-guerre à Dieu. C’est
implicitement l’objectif. C’est pourtant simple de s’en convaincre, c’est factuel !
A vous de le constater ! Regardez !

Il est adopté officiellement par l’élite de la science historique, que grâce aux lois naturelles de la physique et de la chimie,
qu’une combinaison bactériologique mais providentielle, se serait opérée à un certain moment et que nous serions le résultat
de la conséquence, homme comme animaux, c’est tout à fait le contraire de ce que relatent les écritures, où les espèces sont
chacune issue d’une création distincte.

Les textes de la Bible affirment que l’homme par rapport à la femme apparaît en premier, la science dit exactement le
contraire, en le démontrant avec une génétique fumeuse.
Le scientifique serait arrivé à identifier la génétique originelle du premier homme et de la première femme et elle nous
apprendra que: la femme est de beaucoup plus âgée que l’homme, l’écart serait grandiose, jusqu’à 50000 ans.
Dans cette définition, l’homme moderne serait apparu au sein d’un clan indépendamment de celui de sa femme, qui elle
existait déjà depuis des milliers d’années.

Naturellement, le scientifique a sa façon de l’expliquer, en narrant qu’il n’y a pas lieu de s’interroger là-dessus, que l’un et
l’autre était naturellement la progéniture de parents (?).
Les animaux sont-ils apparus suivant le même processus ?

Lorsqu’il n’y a pas d’apport événementiel caractérisé, l’historien en science en déduit qu’il s’agit d’une fable, or, lui-même fait
pourtant appel à sa propre imagination dans tous les domaines des sciences et des thèmes historiques, par spéculations
d’hypothèses, ce genre de déduction imaginative maintes fois reprises par la confrérie finie par devenir une réalité admise
comme telle.

La génétique démontrerait aussi que: depuis 200 000 ans, l’homme n’aurait subi aucune mutation visible, de- même que pour
la femme, alors que nous avons entre d’eux une différence de temps existentiel astronomique.
On ne connaît pour l’homme aucune mutation positive vécue en dehors de la théorie de l’évolution … et des personnages de
Marvel.

Plus de 200 000 ans nous séparent de l’homme moderne originel, suivant la génétique de la science, et dit-on de certains
fossiles, si sur un tel lap de temps, il ne s’est absolument rien produit … alors combien de temps faut-il pour qu’il se passe le
millième de quelque chose ? Alors que la formation du singe à l’homme moderne s’est accomplie en moins de 800 000 ans
(?)

En termes-clairs l’homme moderne d’après la science, serait le dernier créé parmi toutes les espèces animales confondues,
c’est aussi exactement le contraire de ce qu’on retiendra des écritures.
L’homme en Genèse II a été fait avant que toutes choses ne soient, avant toutes pluies et toutes herbes, c’est le récit qui le dit.
(Gen: II/05 à 07) ce n’est pas ce qu’en retiendra la tradition de la religion d’aujourd’hui, voulant à tout prix coller avec ce
qu’enseigne la science moderne. Faut-il faire avec la forfaiture des traducteurs et des copistes ? qui de tout temps se sont
efforcés d’adapter les écrits à leur temps, en manipulant la vérité des mots ?
Vous voyez pourquoi je disais : que la science à un certain moment lorsqu’elle veut nous conter ce monde, fait oeuvre
d’antithèse … à celle divine.

On nous projette en avant-garde tout ce qui nous serait possible d’imaginer.
Quel serait le réel intérêt de savoir qui nous sommes ? Où nous sommes ? Alors que nous avons maintes choses à faire, qui
nous préoccupent au quotidien et qui nous semblent de loin beaucoup plus importantes ?
La vraie religion devrait penser que les sciences sont en partie une façade, une barrière pour empêcher la croyance en DIEU,
pour berner et aveugler l’intelligence, par une immensité de sciences imaginaires, truquées de duperies, et depuis avril 2014
beaucoup en ont fait une démonstration, on s’interroge différemment sur ce monde, sur l’existence d’un Créateur. Je vous
l’avais exprimé en 1999.

La raison voudrait qu’il ne faille pas la prendre pour une alliée.
? Savez-vous ce que tout cela veut dire ?

Que ça corrobore parfaitement avec ce que j’écris et ce que j’exprime depuis 1999 dans les médias.
Qu’on nous trompe ! qu’on cherche à nous éloigner, à nous écarter de quelque chose qui nous dépasse.
Visiblement notre civilisation moderne ne serait qu’une construction déjà pensée et préparée par avance, où les sciences et
techniques seraient puisés depuis un réservoir immense de connaissances, un réservoir qui se trouvent quelque part,
contenant des connaissances qui nous sont remises petit à petit, pour donner l’apparence d’un monde civilisé, d’un monde
évolutif.

Dans cette perspective, l’humanité reçoit fur et à mesure suivant les besoins du plan, des sciences et des techniques, afin de
lui donner l’impression d’un système évoluant dans le progrès, appuyée grâce à l’invention de dites nouvelles technologies et
découvertes scientifiques, que l’humanité croira par évidence provenir de ses savants, mêler à cela de sciences imaginaires,
mais adaptées à son intelligence, pour la tromper en lui offrant des réponses à ses questionnements.

Il y a ce qu’il nous donne et ce dont nous en sustentons, pour que nous pensions être pourvus de sciences, pour nous donner
cette impression, la vision d’un monde civilisé, évoluant dans une notion de progrès.

Tous les moyens sont mis en œuvre pour berner l’intelligence, pour cela on se sert de ceux possédant d’excellentes capacités
d’assimilations; ce qui permet de les formater à convenance pour soutenir ce système de chose.Je vous parle ici d’un plan
diabolique à long terme, commencé depuis le temps de Jésus, où tout est déjà engagé dans le détail, articulé dans les
moindres gestes, orchestré d’un chant psalmodié dans la plus petite parole, pour sustenter les dits du monde, un plan établi
que la tromperie engendre elle-même à travers ce monde par sa capacité d’influence.

Certains ont la charge de faire de la science moderne une situation factuelle, de faits, d’ordre de connaissances établi, sur des
théories bien montées; mais faisant figure également d’abaissement, en prodiguant sur sa supériorité, en moyens et en œuvre,
où toutes tentatives de rébellion seraient tenues pour ridicule.
Il n’y aurait pas d’autre choix pour réussir que de se mettre en accord avec ce système mis en place, parce qu’on ignore
l’étendue de la tromperie. Le monde est loin d’imaginer jusqu’où va cette machination.

Le « prince de ce monde » sait que par nature l’homme aime savoir, qu’il veut comprendre les choses, qu’il cherche des
explications, principalement sur sa nature et son être même, alors ce démon se sert de ses sentiments profonds pour
manipuler son esprit.

Tout ce que nous connaissons par les sciences, par les arts, sont sujets à des manipulations, à des trafics.

C’est réglé de façon que nous acceptions cette idée de progrès, l’idée d’une bonne évolution de la civilisation.
Cette notion de progrès nous semble commune, adaptée à ce que nous voyons, à ce qu’on nous en dit, par le savoir, et aussi
d’après ce qu’on nous a enseigné avant, à l’école, au collège.

On nous force à assimiler tout du plan organisé, sous le prétexte de s’insérer correctement dans la société.
L’idée de progrès selon cette thèse serait un mythe, issu du scénario, sa mise en scène est réalisée par une élite sous le
contrôle du « prince de ce monde » qui utilise et dispose de matières technologiques pour nous donner cette impression de
modernité.

Etant donné qu’à l’origine le « prince de ce monde » fut en parfaite symbiose avec l’homme et qu’il en fut séparé, il a ainsi
seul, gardé en mémoire les connaissances et le savoir que le couple d’éden détenait, celui qu’il avait avant de s’en retrouver
nu.

Le Contrôle Total fait partie du plan du prince de ce monde.
Notre position scientifique est ridicule comparée à la somme de ses connaissances, car nos sciences et techniques réunies
sont le produit de ses offrandes, qu’il puise depuis un énorme réservoir de connaissances, qu’il nous donne fur et à mesure
suivant son plan.
C’est ainsi qu’il a retrouvé grâce à sa ruse, son statut de compagnon originel. (Lire mes articles sur ce journal)
Je pense qu’une partie des réponses à vos questions sur ce sujet se trouve dans mes publications précédentes.
Je vous ai là indiqué qu’une mince partie de son complot, prenez la peine d’examiner mes articles précédents.

PASCAL VIEILLARD = 144

 

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